France

Pour sauver leur école, des petites communes veulent se payer un instit

1.500 classes seront fermées, dès septembre, dans le primaire. Pour contourner ces décisions, certaines communes ont tenté de recruter sur fonds propres leurs instituteurs. Des initiatives aussi rocambolesques que désespérées. Par Lucie Delaporte

La rédaction de Mediapart

Le 5 septembre prochain, date de la rentrée scolaire, 1.500 classes de primaire manqueront à l'appel. Cette année, les suppressions de postes dans l'Education nationale ont particulièrement frappé les écoles maternelles et élémentaires qui, pour certaines, s'apprêtent à vivre une rentrée sous très haute tension.

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