Libertés publiques

Surveillance : un ancien salarié de Qosmos devant les prud'hommes

James Dunne n'a pas supporté d'apprendre que la société qui l'employait était accusée d'avoir livré des logiciels de surveillance aux régimes syrien de Bachar al-Assad et libyen du colonel Khadafi. Il a été licencié pour avoir dénoncé son employeur dans des commentaires postés sur Mediapart.

Jérôme Hourdeaux

Il faisait particulièrement chaud, mercredi 23 octobre, dans la salle d’audience du conseil des prud’hommes de Paris où était jugée l’affaire opposant James Dunne à son ancien employeur, le fabricant français de logiciels de surveillance Qosmos.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter