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Au Kazakhstan, sur les traces des survivants des camps chinois du Xinjiang

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Au Turkestan oriental, ou Xinjiang, des millions de personnes issues de minorités ethniques sont enfermées dans des camps de « rééducation » et des prisons. Des survivants ont trouvé refuge au Kazakhstan. À peine reconnus comme victimes, ils doivent apprendre à revivre en silence.

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    © Robin Tutenges

    Près d’Almaty, Kazakhstan, janvier 2023. Ce que la Chine nomme Xinjiang – un terme colonial qui signifie « nouvelle frontière » – est habituellement appelé Turkestan oriental par les personnes qui y vivent. Ce territoire d’Asie centrale est le foyer de nombreux Ouïghours, Kazakhs, Dounganes, Kirghiz, Ouzbeks et autres minorités, que le Parti communiste chinois (PCC) a entrepris de rééduquer de force dans des camps de concentration, considérant leurs traditions comme les marques d’un « séparatisme » qui doit être tué dans l’œuf.

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