Le groupe français a comparu le 20 novembre à Paris pour manquement à son devoir de vigilance sur une ancienne filiale turque. 81 salariés espèrent obtenir des indemnités. C’est une première. Des ouvrières ont fait le déplacement pour dénoncer leurs conditions de travail.
La dernière usine de la commune de Seine-Saint-Denis fermera d’ici à fin 2026, laissant 105 personnes dans l’incertitude : l’entreprise prévoit 49 licenciements et 56 reclassements sur un autre site du groupe dans le Loiret. Les salariés étaient mobilisés le 19 novembre.
Dix ans après les attentats du 13 novembre 2015, la capitale a rendu hommage aux 130 morts et aux centaines de blessés du pire attentat qui ait frappé la France. De la rue de Charonne au Bataclan et à la place de la République, des milliers de personnes se sont rassemblées pour commémorer et partager.
L’entreprise de points relais entre particuliers, placée en redressement judiciaire, laisse sur le carreau des milliers de personnes qui stockaient des colis pour elle. Les cagnottes où leurs rétributions étaient collectées sont gelées depuis le mois de juillet.
Les personnels d’animation de la ville de Paris demandent de meilleures conditions de travail et dénoncent un manque de moyens, pour accueillir les enfants aux besoins particuliers. La mobilisation débute alors que des enquêtes pour des violences, y compris sexuelles, dans les écoles parisiennes s’accumulent.
Le nouveau franchisé du restaurant de Mérignac (Gironde) était accusé de discrimination par ses salariés musulmans : le règlement intérieur qu’il voulait imposer interdisait le voile et la barbe, en contradiction avec les règles de Quick France. Le document a finalement été retiré.