Donald Trump a fortement déconseillé lundi le paracétamol aux femmes enceintes, l’associant à un risque d’autisme élevé pour les enfants en dépit d’avis contraires des médecins, avant de jeter un discrédit infondé sur les vaccins.
La France et plusieurs autres pays ont reconnu lundi « l’Etat de Palestine » depuis la tribune de l’ONU, tentant de renforcer la pression sur Israël pour mettre un terme à la guerre à Gaza, dans le cadre d’un mouvement historique mais à la portée encore avant tout symbolique.
Les partis de gauche ont célébré lundi « une victoire » et l’espoir d’une fin plus rapide de la guerre à Gaza après l’annonce par le président Emmanuel Macron de la reconnaissance par la France de l’Etat de Palestine, tandis que la droite a redit ses réticences.
Le candidat d’extrême droite à l’élection présidentielle de novembre au Chili, José Antonio Kast, l’un des favoris du scrutin, a assuré lundi que « tous » les migrants en situation irrégulière, y compris les enfants, seraient expulsés s’il était élu.
Ousmane Dembélé, vainqueur du Ballon d’Or, a affirmé auprès de l’AFP que « c’est magnifique d’avoir ce trophée », même si « le titre individuel n’était pas un objectif ».
Le nouveau dirigeant syrien, Ahmad al-Chareh, en visite à New York pour l’Assemblée générale des Nations unies, a exprimé lundi son espoir de conclure un accord de sécurité qui apaiserait les tensions avec Israël, mais écarté toute reconnaissance dans l’immédiat.
Le Trésor américain s’est dit lundi prêt à « faire ce qui est nécessaire » pour soutenir l’économie de l’Argentine, dont le président ultralibéral Javier Milei s’emploie depuis plusieurs jours à calmer des marchés financiers fébriles, après plusieurs revers politiques.
L’émission de l’humoriste Jimmy Kimmel, dont la suspension la semaine dernière a provoqué des débats houleux sur la liberté d’expression aux Etats-Unis et les pressions de l’administration Trump sur les médias, sera de retour à la télévision mardi, a annoncé Disney.
« La France reconnaît aujourd’hui l’Etat de Palestine », « pour la paix entre le peuple israélien et le peuple palestinien », a déclaré lundi solennellement Emmanuel Macron à la tribune des Nations unies.