Le Parlement de la Republika Srpska a accepté mercredi qu’un scrutin soit organisé en novembre dans cette entité des Serbes de Bosnie pour élire son président, qui succédera à Milorad Dodik, déchu après avoir défié un émissaire international chargé de faire respecter l’accord de paix.
La principale coalition d’opposition en Guinée-Bissau ne pourra pas présenter sa liste aux législatives qui auront lieu le 23 novembre en même temps que la présidentielle, a indiqué mercredi à l’AFP un membre de la Cour suprême, évoquant un dépôt tardif de son dossier.
Sébastien Lecornu a annoncé mercredi après avoir revu les partenaires sociaux qu’il leur adresserait « dans les prochains jours » un courrier « pour leur demander leur contribution sur cinq thématiques ».
« Une occasion manquée »: l’intersyndicale a annoncé mercredi une nouvelle journée de mobilisation le 2 octobre, déçue par les propositions du Premier ministre qui souhaite, lui, revoir les partenaires sociaux « dans les prochains jours ».
Le président syrien Ahmad al-Chareh a appelé mercredi à la tribune de l’ONU à la fin des attaques israéliennes sur son territoire, qui menacent d’entraîner « de nouvelles crises et luttes dans notre région ».
Un million de réfugiés syriens sont rentrés de l’étranger depuis la chute du régime de l’ex-président Bachar al-Assad en décembre, ont annoncé mercredi les Nations unies, appelant à davantage de soutien pour permettre à d’autres Syriens de pouvoir le faire.
La Cour de cassation a rendu mercredi la première décision en France sur le délai de prescription pour les poursuites au civil dans l’affaire du « dieselgate », ouvrant la voie à de nouvelles actions en justice, et s’appuyant pour la première fois sur la Charte de l’environnement.
L’ex-président du Malawi Peter Mutharika était en passe d’être réélu mercredi, après que le sortant, Lazarus Chakwera, a reconnu sa défaite à l’issue d’un scrutin dominé par l’envolée du coût de la vie dans ce pays pauvre.
Emmanuel Macron a affirmé mercredi au président iranien Massoud Pezeshkian, qu’il a rencontré à l’ONU, qu’un accord sur le nucléaire iranien restait « possible » pour éviter le rétablissement des sanctions internationales contre Téhéran mais qu’« il ne restait plus que quelques heures ».
Le président français Emmanuel Macron a évoqué mercredi une « perspective solide » vers la libération de citoyens français détenus en Iran et que Paris considère être des « otages d’Etat », tout en soulignant rester « très prudent ».