Enfants contaminés: les pistes pour expliquer des formes souvent bénignes
Une dizaine de décès d’enfants et d’adolescents ont été annoncés à travers le monde. Mais les mineurs représentent une proportion très faible des cas confirmés et chez eux, l’infection reste souvent bénigne. Pourquoi ? Des inconnues demeurent, des hypothèses émergent. Un sujet clef en vue du déconfinement.
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DansDans la nuit 24 au 25 mars, Julie, une adolescente de 16 ans, est morte du Covid-19, première victime mineure en France. D’après ses proches, elle était en bonne santé et n’avait qu’une petite toux. Une dizaine de décès d’enfants et d’adolescents ont ainsi été annoncés ces derniers jours dans le monde, notamment aux États-Unis, en Chine, en Iran, au Panama mais aussi en Belgique, au Portugal et au Royaume-Uni. Certains avaient des pathologies, d’autres semblaient en pleine forme.