«Que tout le monde s’arrête. Ceux qui aiment leur village ne devraient pas entrer dans cette pièce », lance Ismaïl Sami. Ce militant écologiste turc s’adresse ainsi à la quarantaine de villageois et d’élus locaux rassemblés le 30 mai dernier devant le Café des chasseurs de Çerkeşli, un village situé à quatre kilomètres de Dilovasi, cité industrielle à une heure de route au sud-est d’Istanbul.
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