En souvenir du massacre du 17 octobre 1961, Mediapart publie 17 textes d'écrivains se remémorant la répression sanglante de la manifestation des Algériens à Paris. Celui d'aujourd'hui est signé par le romancier Gérard Alle: l'histoire de la petite Justine, son frère Kevin et son pote Mouloud.
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En souvenir du massacre du 17 octobre 1961, Mediapart publie 17 textes d'écrivains sur la répression sanglante de la manifestation des Algériens à Paris. Celui d'aujourd'hui est signé par la romancière Jeanne Benameur. Elle avait 9 ans en 1961, et «cet été-là, (elle avait) appris à nager».
En souvenir du massacre du 17 octobre 1961, Mediapart publie 17 textes d'écrivains se remémorant la répression sanglante de la manifestation des Algériens à Paris. Celui d'aujourd'hui est signé Samia Messaoudi, auteure, militante de l'association Au Nom de la Mémoire.
En souvenir du massacre du 17 octobre 1961, Mediapart publie 17 textes d'écrivains se remémorant la répression sanglante de la manifestation des Algériens à Paris. Aujourd'hui, celui de Bernard Chambaz qui, d'un souffle, affirme : « Sauvagerie est bien le mot. »
En souvenir du massacre du 17 octobre 1961, Mediapart publie 17 textes d'écrivains se remémorant la répression sanglante de la manifestation des Algériens à Paris. Celui d'aujourd'hui est signé du romancier Didier Daeninckx, en souvenir de Fatima Bédar « morte quand les policiers français jetaient les Algériens à la Seine ».
Le 17 octobre 1961, des hommes sans armes ont été assassinés par les forces de l'ordre. En souvenir de ce massacre, nous publions ici le premier des 17 textes d'écrivains que nous vous proposerons. Il est signé Mehdi Lallaoui, auteur et réalisateur, responsable de l'association Au Nom de la Mémoire.
«Hors-la-loi», le film de Rachid Bouchareb consacré à la guerre d'Algérie, est à l'affiche depuis mercredi 22 septembre. Sa projection, au festival de Cannes, avait suscité manifestations et polémiques. Mediapart vous propose de retrouver quelques-uns des articles alors publiés dans ses colonnes.
Le photographe marseillais Abed Abidat publie Tragédie dans le Constantinois. Dans un portfolio sonore, il raconte sa rencontre avec les témoins algériens des massacres commis par l'armée française et les milices.
Pour la première fois un responsable de haut rang, en la personne de Michel Rocard, reconnaît les crimes de soldats français ayant achevé des blessés kanaks à la suite de l'assaut de la grotte d'Ouvéa en mai 1988. C'était ce lundi 18 août sur France Culture.
En Nouvelle-Calédonie, la condamnation d'un syndicaliste et la démission d'un Haut commissaire de la République opposé aux méthodes du ministre Christian Estrosi font craindre un retour des conflits avec la métropole, vingt ans après le drame de la grotte d'Ouvéa. Enquête et entretien avec le documentariste Mehdi Lallaoui. A lire aussi, le poids des mines de nickel dans le regain de tension.