Aujourd'hui, notre chroniqueur Didier Porte est regonflé à bloc grâce au meeting organisé ce lundi 25 avril par Stéphane Le Foll et une vingtaine de ministres, “Hé oh la gauche !”, qui doit permettre « aux militants de gauche de relever la tête ».
Cette semaine, Didier Porte examine de très près comment les médias se sont emparés du mouvement « En Marche ! » créé par le ministre Emmanuel Macron. Conclusion : « Il m'énerve, ah, il m'énerve trop. »
Cette semaine, Didier Porte évoque les débats suscités par les propos de la ministre Laurence Rossignol sur les femmes voilées et de la philosophe Élisabeth Badinter sur la « mode islamique ».
Cette semaine, Didier Porte se penche sur le cas de Vincent Bolloré, enregistré par nos confrères des « Jours » lors du comité de management où furent virés un tiers des cadres de Canal+.
Cette semaine, Didier Porte revient sur la loi sur le travail, symptôme d’un patronat français « dynamique et vigoureux », à l’image de son dirigeant, le super héritier Pierre Gattaz, et d’une de ses plus récentes figures, Cyril Hanouna, aux méthodes de management musclées.
Cette semaine, Didier Porte épluche l'interview du président de la République dans Elle. Où il ne fut question ni du communiqué de rupture avec Valérie Trierweiler, ni du limogeage de Fleur Pellerin, et pas plus du sort réservé à Myriam El Khomri.
Au lendemain du second tour des élections régionales, Didier Porte célèbre la victoire en Paca du « FTP des Alpes-Maritimes », Christian Estrosi, et de sa conseillère pour l'environnement, Maud Fontenoy.
La « famille Adams de Montretout » en tête dans six régions ? À plus de 40 % en Nord-Pas-de-Calais-Picardie et en Paca ? « Non, celle-là on ne me la fait pas à moi », proteste Didier Porte.