Donald Trump est devenu mercredi le troisième président des Etats-Unis à être mis en accusation ("impeached"), pour abus de pouvoir et entrave au Congrès, une mesure historique qui va donner lieu à un procès en destitution au Sénat et alimenter les tensions partisanes dans un pays profondément divisé.
La Grande-Bretagne a appelé jeudi la Chine à ouvrir le dialogue avec les manifestants antigouvernementaux à Hong Kong et à respecter les engagements pris préalablement à la rétrocession de l'ancienne colonie britannique à la Chine.
Les parlementaires italiens ont rassemblé suffisamment de signatures pour la tenue d'un référendum sur la loi qui prévoit une réduction d'un tiers de leur nombre aux prochaines élections.
La température ne devrait pas descendre en dessous des 6°C dans la nuit de mercredi à jeudi à Moscou, du jamais vu depuis le 18 décembre 1886, a annoncé le centre national de météorologie.
Patrick et Isabelle Balkany renoncent à se présenter aux élections municipales de 2020 à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine), a-t-on appris mercredi auprès de leur entourage, confirmant une information de Marianne.
La clôture de l'offre d'achat lancée par Capgemini sur son rival Altran est désormais fixée au 22 janvier, a annoncé mercredi l'Autorité des marchés financiers (AMF) après le rejet par la justice française d'une demande de report.
Le parquet de Paris a été saisi mercredi par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique des "omissions" dans la déclaration d'intérêts de Jean-Paul Delevoye, qui ont conduit à sa démission des fonctions de haut-commissaire aux Retraites.
Saad Hariri, chef du gouvernement libanais sortant, annonce mercredi dans un communiqué qu'il n'est pas candidat à sa propre succession, mais souhaite que les consultations en vue de la désignation du Premier ministre aient lieu jeudi comme prévu.
Angels, le premier nanosatellite industriel français, a été lancé mercredi à bord du vaisseau Soyouz VS23 du centre spatial guyanais de Kourou, puis mis en orbite avec succès.
Emmanuel Macron "n'abandonnera ni ne dénaturera" le projet de réforme des retraites défendu par le gouvernement mais des modifications pourront y être apportées à la lumière des discussions avec les syndicats, a-t-on dit mercredi à l'Elysée.