Le 47e président des États-Unis, investi lundi 20 janvier, a signé une centaine de documents, décrétant notamment « l’urgence nationale » à la frontière sud au nom de la lutte contre l’immigration, la sortie de l’accord de Paris sur le climat, ou encore la suppression des politiques en faveur des personnes transgenres.
Les grandes entreprises se bousculent au portillon pour financer les festivités autour de l’investiture de Donald Trump, ce lundi 20 janvier à Washington. Les millions affluent avec des objectifs divers : soutenir le président élu, s’en protéger et en tout cas s’en assurer l’accès.
Ils et elles étaient quelques dizaines de milliers à défiler contre Donald Trump, samedi, à Washington. Bien loin du demi-million de la Marche des femmes au début de sa première présidence. La « résistance » de 2017 peut-elle se reformer en 2025 ?
La recherche de responsables va bon train après la défaite sans appel de Kamala Harris. Le couperet tombe sur un programme déconnecté de l’électorat populaire, et une candidate incapable de se démarquer du président Biden.
Dans cet État rural et républicain du nord du pays, ce n’est pas la présidentielle qui passionne les foules, mais la bataille que mène le sénateur démocrate sortant, Jon Tester, pour sa réélection face au républicain Tim Sheehy. Un scrutin déterminant pour le contrôle de la chambre haute.
Dans cet État clé du scrutin, l’ancien président voulait se poser en sauveur de l’industrie déclinante. Mais la débâcle du projet Foxconn, une entreprise attirée avec des millions de dollars de subventions et partie sans rien construire, pourrait se retourner contre lui.
Dans l’État de Pennsylvanie, crucial pour les deux candidats, le comté d’Érié fait figure de boule de cristal. Depuis 2008, on y a toujours choisi les vainqueurs. Et cette fois ? Démocrates comme républicains sont confiants dans la victoire. Le duel s’annonce très serré.
Un an après les attaques du 7-Octobre et à un mois de l’élection présidentielle du 5 novembre, les habitants de Dearborn, dans l’État clé du Michigan, menacent de faire payer aux démocrates le soutien de Washington à Israël. Et de couler la candidature de Kamala Harris.
La convention nationale démocrate s’est refermée jeudi 22 août à Chicago sur le discours de celle qui est désormais la candidate investie face à Donald Trump. « Le futur est arrivé », a lancé Hillary Clinton, tandis que de nouvelles têtes sont venues sous les projecteurs.
Pas facile d’attirer l’attention au milieu de la « Kamala-mania » qui déferle sur la convention nationale démocrate, le grand raout du parti qui s’est ouvert lundi 19 août à Chicago. Mais les défenseurs d’un embargo sur les armes à destination d’Israël restent mobilisés.
La vice-présidente des États-Unis sera intronisée candidate à l’élection présidentielle de novembre lors de la convention nationale démocrate, qui s’ouvre lundi 19 août à Chicago. Une étape symbolique pour une campagne qui a démarré en trombe.
La vice-présidente devrait être investie candidate à la Maison-Blanche à l’issue d’un vote virtuel qui s’est ouvert jeudi 1er août. Sera-t-elle plus à l’écoute des défenseurs de la cause palestinienne que l’actuel président démocrate Joe Biden ?