L’Arizona est l’une des surprises de la carte électorale de 2020. État traditionnellement républicain, il a offert mardi ses onze grands électeurs à Joe Biden. Reportage dans les banlieues de Phoenix, où les démocrates gagnent du terrain.
Largement démocrate, la ville de New York s’est rendue aux urnes pour se débarrasser de Donald Trump, l’homme d’affaires qui, autrefois, était considéré comme l’un de ses grands bâtisseurs.
L’Arizona est l’une des surprises de la carte électorale de 2020. État traditionnellement républicain, c’est désormais un « Swing State » qui pourrait porter Joe Biden au pouvoir. Reportage dans les banlieues de Phoenix, où les démocrates gagnent du terrain.
Le vote pour la présidentielle a déjà commencé dans la capitale de l’Amérique noire, Atlanta. Terre de promesse et d’épanouissement pour les Afro-Américains, la ville est déterminée à tourner la page de Trump, malgré les obstacles.
Elle fait plus de 200 kilomètres de long et relie des électorats très divers, entre Tampa et Daytona Beach. Mediapart a voyagé le long de l’autoroute I-4, zone de Floride déterminante dans toute présidentielle, pour prendre le pouls d’une Amérique qui s’interroge sur l’avenir.
Le trottoir devant la Cour suprême est devenu le point de rassemblement de toute la gauche américaine, venue pleurer la juge Ruth Bader Ginsburg, décédée vendredi, mais aussi se mobiliser à un mois et demi de l’élection présidentielle.
Un président pyromane, des groupes radicaux qui cherchent le grabuge, des militants Black Lives Matter déterminés… Comment Portland, ville libérale de l’Ouest américain, s’est transformée en champ de bataille entre droite et gauche en pleine campagne présidentielle.
Républicain depuis des décennies, le comté états-unien de Waukesha, situé dans la banlieue de Milwaukee, pourrait décider de l’issue de l’élection dans l’État stratégique du Wisconsin. Sur place, les démocrates n’ont plus peur de se montrer.
Qu’il soit réélu ou pas en novembre à la présidentielle, Donald Trump a déjà donné naissance à une nouvelle génération d’élus et de militants qui marchent dans ses pas.
Quatre ans après son élection, Donald Trump a fait main basse sur le parti républicain, qui tient sa convention nationale jusqu’à jeudi. Les voix modérées sont parties ou se sont largement tues.
Colistière de Joe Biden, la sénatrice noire Kamala Harris pourrait devenir la première vice-présidente des États-Unis. La communauté afro-américaine de Milwaukee, où une convention démocrate réduite doit s’ouvrir lundi 17 août, est partagée entre enthousiasme et méfiance.
Depuis la mort de George Floyd, la cancel culture s’affiche sur les réseaux sociaux. Expression démocratique ou nouvelle forme d’intimidation en ligne : ce mouvement de boycott est critiqué à gauche comme à droite aux États-Unis, mais pas pour les mêmes raisons.