Ces trois morts n’ont, pour les éclairer petitement au long d’une progression qui n’est en rien un progrès, difficultueuse et vaine, que le maigre lumignon constitué par les os de la main de l’un d’eux, qui se consume lentement après avoir été arrosée de poudres phlogistiques étranges conservées dans l’au-delà par celui qui sert au trio de guide.
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