Voilà 60 ans, le maréchal Staline passait l'arme à gauche
Le 5 mars 1953, Staline calanchait. La planète sembla frappée de stupeur révérencieuse : « Le maréchal Staline est mort », titrait Le Monde. Retour, irrespectueux, soixante ans après, sur la perte d'un guide funeste que s'étaient laissé imposer tant d'esprits irraisonnés. Vidéo dans l'article.
Le 6 mars 1953, la voix de bronze du speaker Iouri Lévitan, qui avait annoncé l'entrée (forcée) de l'Urss dans la guerre en juin 1941, retentissait à 6 heures du matin, précédée de l'hymne national, lui-même préfiguré par un interminable roulement de tambour : « Le cœur de Joseph Vissarionovitch Staline, compagnon d'armes de Lénine et génial continuateur de son œuvre, guide sagace et éducateur du Parti communiste et du peuple soviétique, a cessé de battre. » La mort remontait à la veille, l'agonie datait de plusieurs jours.
Les urgences de l’hôpital Pellegrin régulent l’accès des patients en soirée et la nuit. Cela ne règle rien aux dysfonctionnements de l’établissement, mettent en garde les urgentistes bordelais. Épuisés par leur métier, ils sont nombreux à renoncer à leur vocation.
À l’issue du congrès qui s’ouvre dimanche, Frédéric Souillot devrait largement l’emporter et prendre la suite d’Yves Veyrier à la tête du syndicat. Inconnu du grand public, l’homme incarne, jusqu’à la caricature, le savant équilibre qui prévaut entre les tendances concurrentes de FO.
La compagnie aérienne a été condamnée, en appel, à verser 8,6 millions d’euros de dommages et intérêts pour « travail dissimulé ». La firme irlandaise avait employé 127 salariés à Marseille entre 2007 et 2010, sans verser de cotisations sociales en France. Elle va se pourvoir en cassation.
Modèle français du travail en prison, le centre de détention d’Oermingen a inspiré une réforme du code pénitentiaire ainsi qu’un « contrat d’emploi pénitentiaire ». Mais entre manque de moyens et concessionnaires rétifs à tout effort supplémentaire, la direction bataille pour garder le même nombre de postes dans ses ateliers.
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Guillaume Krempp (Rue89 Strasbourg)
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