Gauche(s)

Aux municipales, Les Écologistes jouent leur va-tout

Après la « vague verte » de 2020, le parti redoute le scrutin de mars 2026, qui se tiendra dans un contexte moins favorable. Entre la montée de l’extrême droite et les divisions de la gauche, les maires sortants devront confirmer leur ancrage. Et prouver la capacité du parti à gouverner, à un an de la présidentielle.

Sarah Benhaïda

La « vague verte » avait déferlé sur les élections municipales de 2020. Le scrutin de mars 2026 sera-t-il celui du ressac ? Fin août, aux journées d’été de leur parti à Strasbourg, Les Écologistes le répétaient sur tous les tons : si la politique nationale semblait tanguer, ils et elles avançaient sur une mer sereine vers les municipales des 15 et 22 mars 2026. Quatre mois plus tard, les avis sont moins unanimes : si certain·es se disent toujours « optimistes » et surtout « confiants » dans les bilans des maires sortant·es, d’autres serrent les dents.

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