Travailler dans le spectacle vivant: les pièges d’un «métier passion»
Ils travaillent dans le spectacle vivant, couvé et subventionné par l’État ou les collectivités locales. Ils disent leur fierté d’exercer un métier valorisé et passionnant. Mais ils expriment aussi des souffrances face à la réalité du management à laquelle ils sont confrontés. Zoom sur ces salariés de la culture en souffrance.
La lecture des articles est réservée aux abonné·es.
Se connecter
TravaillerTravailler dans un théâtre public, un centre chorégraphique ou un centre d’art contemporain – autant de lieux culturels subventionnés par l’État ou les collectivités locales – est une fierté pour beaucoup de salariés. Métier valorisé socialement, projets passionnants, engagements publics, voire politiques, dynamiques collectives… Pourtant, ceux qui travaillent dans ce secteur expriment aussi des souffrances, issues du décalage existant entre ces valeurs et la réalité du management à laquelle ils sont confrontés.