Livres

Fictions d’apocalypse

Pourquoi les histoires de fin du monde se multiplient-elles ? Faut-il les lire comme les constats d’une course à l’abîme inéluctable ? Dans Fabuler la fin du monde, Jean-Paul Engélibert soutient au contraire que les fictions apocalyptiques constituent un appel à penser des formes alternatives de société.

Sébastien Omont (En attendant Nadeau)

23 novembre 2019 à 11h24

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Dès l’introduction, l’auteur souligne que ces fictions, plus que dans le cataclysme lui-même, se situent dans son après, projetant « dans le futur une pensée du présent. En représentant notre histoire achevée, l’action politique impossible ou dépassée, elles ne renoncent pas à agir. Au contraire, elles inventent une forme contemporaine de tragédie qui place l’humanité sous son propre regard critique ».

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