Werner Herzog, cinéaste visionnaire, à voir et à écouter sur Mediapart

Double actualité pour le cinéaste allemand et écolo, réalisateur de l'incontournable Aguirre, la colère de dieu (1972), et plus récemment du splendide Grizzly Man (2005) : la rétrospective au centre Pompidou, à Paris, de ses 55 films, jusqu'au 2 mars 2009, ainsi qu'un livre d'entretien nerveux, intitulé Manuel de survie. Mediapart publie les «bonnes feuilles» de l'ouvrage et, en bonus, un diaporama Herzog (cliquez sur la photo ci-contre), pour écouter, en anglais, la voix du maître. «Le cinéma possède en lui quelque chose qui détruit les hommes», prévient-il.

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La scène de réconciliation remonte à trois ans : la sortie dans les salles françaises de Grizzly Man, portrait d'un militant écolo radical, littéralement dévoré par sa passion pour les ours d'Alaska, relance l'intérêt pour l'œuvre grand format de Werner Herzog (photo, © WHF) - dont les films des années 90 avaient parfois déçu. La rétrospective que lui consacre le centre Pompidou, à Paris, jusqu'au 2 mars prochain, confirme le retour aux avant-postes du réalisateur globe-trotter, capable de filmer aussi bien la jungle amazonienne, le volcan de la Soufrière que les sommets enneigés de Patagonie. A l'affiche, l'intégralité des 55 films du maître allemand, dont son premier long, Signes de vie (1968, tourné en Crète), et pléthore de docus inédits aux formats bâtards.

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