Les commentateurs de tout poil se montrent volontiers ravis en admiration face à la « souplesse » de la Constitution française, si accommodante. Tout cela ne vaut pas la plasticité de l’idiome national soi-même, ouvert à tout verbe, au point que chaque locuteur ou lecteur, paraphrasant l’Évangile de Jean (14:2), pourrait déclamer : « Il y a plusieurs demeures dans la maison de ma langue maternelle. »
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