Jeudi 9 juin, la cour d’appel de Versailles a confirmé que le suicide de Raymond D., salarié du Technocentre Renault de Guyancourt (Yvelines), était bien un accident de travail. En première instance, le tribunal des affaires de Sécurité sociale de Versailles avait relevé que «la hiérarchie (lui avait) confié un objectif à atteindre, sans s’interroger sur la capacité psychique et physique de son salarié à supporter cette charge accrue de travail», concluant que «l’acte suicidaire de M. D. est survenu par le fait du travail».
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