Une banque en faillite, les gouvernements belge et français devant apporter en catastrophe 6,5 milliards d'euros, suivis d'une garantie de 150 milliards d'euros sur les crédits. Pour beaucoup, l'affaire Dexia est résolue. Dans les faits, rien n'est réglé. La banque franco-belge, au cœur du pouvoir local en Belgique aussi bien qu'en France, lutte toujours pour sa survie. Mais comment cette banque, présente sur des métiers bancaires censés être parmi les plus sûrs, le financement des collectivités locales et la banque de détail, a-t-elle pu être conduite à un tel désastre ? Retour en cinq volets sur l'histoire d'une faillite d'Etat, fruit d'une privatisation à la hussarde.Pour lire directement notre premier épisode, cliquez ici
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Quelques jours ont suffi pour faire retomber la poussière. Une banque en faillite, les gouvernements belge et français devant apporter en catastrophe 6,5 milliards d'euros, suivis d'une garantie de 150 milliards d'euros sur les crédits. Pour beaucoup, l'affaire Dexia est résolue. Dans les faits, rien n'est réglé.
Plus de 30 000 personnes auraient trouvé refuge en France depuis le début de la guerre d’invasion russe en Ukraine, en février. Si le gouvernement a assuré que tous les moyens seraient mis en œuvre pour les accueillir, la désorganisation persiste, regrettent les acteurs de terrain.
La croissance a stagné au premier trimestre et ne devrait pas faire beaucoup mieux au deuxième. La compression des revenus réels et l’indifférence quasi complète du gouvernement conduisent à une situation des plus préoccupantes. Toute l’économie se recroqueville.
Emmanuel Macron a réuni mardi les candidats de son camp aux élections législatives. La future majorité qu’il espère obtenir s’annonce macroniste jusqu’au bout des ongles. Le chef de l’État a fait confiance aux députés, conseillers et ministres de son premier quinquennat, balayant les espoirs d’élargissement et de renouvellement dans ses rangs.
La députée de Seine-Maritime Sira Sylla a été une nouvelle fois jugée aux prud’hommes pour répondre de faits de harcèlement sur un collaborateur, qui devait notamment garder son chien et lui acheter cigarettes et champagne. L’élue n’était pas présente à l’audience, étant en campagne pour sa réélection, avec le soutien de la majorité.
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