Depuis des années, les artisans, les commerçants, les hôteliers, les restaurateurs paient des centaines, voire des milliers d’euros par an pour se couvrir et protéger leur activité. Certains ont opté pour des contrats en multirisques, avec une assurance en perte d’exploitation, en cas de perte de chiffre d’affaires liée à une fermeture administrative. Ainsi, quand le décret du 14 mars tombe, leur enjoignant de fermer leurs portes, ils ont naturellement appelé leur assureur.
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