Les autorités tanzaniennes ont levé mardi le confinement imposé à la population après des manifestations anti-pouvoir lors desquelles des centaines de personnes ont été tuées selon l’opposition, mais tente de bloquer la diffusion d’images en ligne.
Face aux géants technologiques américains et chinois, l’Allemagne franchit un cap : Deutsche Telekom et le fabricant américain de puces Nvidia vont construire une « usine d’IA souveraine », un projet d’un milliard d’euros pour doter le pays d’une industrie de l’intelligence artificielle (IA).
Le Conseil constitutionnel a validé mardi la réélection du président sortant Alassane Ouattara pour un quatrième mandat à la tête de la Côte d’Ivoire, avec un score de 89,77%.
Le militant britannique d’extrême droite Tommy Robinson a été relaxé mardi à Londres après avoir refusé de livrer le code PIN de son téléphone à la police, une victoire pour celui qui affirmait avoir été ciblé pour ses convictions politiques.
Le groupe Galeries Lafayette, opposé à l’installation de Shein dans des magasins portant son nom, et la Société des grands magasins (SGM), qui exploite le BHV, ont annoncé mardi la fin de leur partenariat concernant sept Galeries Lafayette de province, qui vont changer de bannière.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé mardi le chef du gouvernement hongrois Viktor Orban à ne « pas bloquer » l’adhésion de son pays à l’Union européenne.
La société Erasteel, spécialisée dans les aciers rapides, a annoncé mardi la suppression de 280 postes, essentiellement en France et en Suède, dont 190 à Commentry dans l’Allier.
A deux jours de l’arrivée des dirigeants mondiaux à Belem pour la COP30, le bilan est tombé: les engagements des pays dirigent le monde vers un réchauffement de 2,5°C, très au-delà de ce que vise l’accord de Paris, alerte l’ONU mardi.
La cour d’appel de Paris a maintenu mardi en détention l’intermédiaire Alexandre Djouhri, incarcéré comme Nicolas Sarkozy dans le procès libyen, en rejetant sa demande de mise en liberté.
Le procès du groupe Lafarge et de huit anciens responsables, soupçonnés d’avoir payé des groupes jihadistes, dont le groupe Etat islamique, en Syrie jusqu’en 2014 dans le but d’y maintenir l’activité d’une cimenterie, s’est ouvert mardi à Paris.