Six mois avant le premier tour des élections municipales, le porte-parole du Rassemblement national (RN) Sébastien Chenu présentait à la presse la stratégie de son parti pour se constituer, enfin, le réseau d’élus qui lui a toujours manqué. Le RN, expliquait-il, avait choisi de présenter moins de listes mais des listes plus solides – pour éviter les déconvenues de 2014, où plus d’un quart des conseillers municipaux avaient choisi de démissionner en cours de mandat. Le parti de Marine Le Pen n’avait donc, cette fois, présenté que 388 listes contre 575 en 2014.
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