La colère des couturières de masques, lasses de travailler gratuitement

Depuis le début du confinement, elles sont des milliers à s’être mobilisées bénévolement pour coudre des masques. Désormais, le dévouement a laissé place au dépit, face au sentiment de se faire exploiter, et à l’auto-organisation.

Laury-Anne Cholez

3 mai 2020 à 13h33

La lecture des articles est réservée aux abonné·es. Se connecter

Depuis le début de l’épidémie, des milliers de couturières se sont mises à l’ouvrage. Confinées derrière leur Singer, elles coupent, bâtissent, piquent et ajustent des centaines de milliers de masques qui seront bien souvent distribués gratuitement, participant ainsi à « l’effort de guerre » réclamé par le gouvernement.

1€ pour 15 jours

Résiliable en ligne à tout moment

Je m’abonne

L’info part de là

Soutenez un journal 100% indépendant : sans subventions, sans publicités, sans actionnaires

Tirez votre information d’une source de confiance

Accédez en exclusivité aux révélations d’un journal d’investigation

Déjà abonné ?

Mot de passe oublié

Voir la Une du Journal