« Je me suis dit, c’est ma fille ou moi par la fenêtre. » Les dépressions post-partum sont encore taboues. Souvent confondues avec le « baby blues », cette déprime passagère liée à la chute d’hormones qui survient dans les quelques jours qui suivent l’accouchement, elles touchent pourtant jusqu’à 15 % des jeunes mères. Et sont d’autant plus dangereuses qu’elles « peuvent mener au suicide », comme l’a rappelé le Collège national des gynécologues et obstétriciens (Cngof), le 8 mars, dans un communiqué.
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