Usul. Le rendez-vous manqué de la gauche

La présidentielle approche et rien ne semble se décanter à gauche. De Taubira à Mélenchon, en passant par Jadot, chacun compte jouer sa partition jusqu’au bout, malgré les appels à l’unité. De quoi désespérer électeurs et militants.

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Usul et Ostpolitik

10 janvier 2022 à 12h40

La présidentielle approche et rien ne semble se décanter à gauche. De Christiane Taubira à Jean-Luc Mélenchon, en passant par Yannick Jadot, chacun compte jouer sa partition jusqu’au bout, malgré les appels à l’unité.

Si cette fameuse unité n’est toujours pas à l’ordre du jour, les formations politiques de gauche ont au moins un point commun : elles désespèrent leurs électeurs et leurs militants se laissent peu à peu gagner par un défaitisme qui n’augure rien de bon pour la suite.

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