Du siège de La Défense, c'est un cadre supérieur de l'Epad qui le dit : « Pour nous cette histoire de Jean Sarkozy est une catastrophe. Tout le monde sait que le président n'a aucun pouvoir, il ne signe aucun contrat, n'este pas en justice, il ne fait qu'approuver les délibérations du conseil d'administration. De ce point de vue, Devedjian ou Jean Sarkozy, c'est pareil. Le vrai patron, c'est le directeur et, au-dessus de lui, le contrôleur général des finances qui dit s'il est possible ou pas d'engager les dépenses. »
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