France

Frappes en Syrie: le parlement débat, mais après

Conformément à la Constitution, le gouvernement s’est expliqué devant le Parlement sur les raisons qui l’ont conduit à intervenir en Syrie. L’opposition a, de La France insoumise à LR, fustigé des frappes « sans mandat de l’ONU », risquant de conduire à une escalade militaire.

Lucie Delaporte

Forcément un peu irréel, trois jours après le début d’une opération militaire, par ailleurs terminée, le débat sur le bien-fondé de l’intervention en Syrie s’est donc tenu lundi 16 avril à l’Assemblée et au Sénat. L’objectif de ce débat sans vote était d’éclairer a posteriori la représentation nationale sur les intentions de la France en Syrie, sept ans après le début d’un conflit qui a déjà fait 350 000 victimes.

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