Après l'accident de Fukushima, les experts en sûreté ont annoncé un changement radical de leur « doctrine » : il leur faut désormais « imaginer l'inimaginable ». En clair, imaginer des inondations, des séismes ou des accidents industriels a priori improbables, et regarder l'effet que ces aléas pourraient produire sur les centrales nucléaires françaises. C'est chose faite.
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