«Nous y sommes ! Nous vivons dans les hôpitaux de province les difficultés vécues depuis plusieurs années dans les hôpitaux parisiens », constate Olivier Terrien, aide-soignant et secrétaire général CGT au CHU de Nantes. Début octobre, deux lits ont fermé en réanimation pédiatrique (sur les douze que compte la région entière), dix en neurochirurgie fin septembre, 24 à l’Ehpad de Pirmil (fermés entre fin 2019 et septembre 2020) et encore 66 autres à l’Ehpad de La Seilleraye en 2019, deux établissements gérés par le CHU. « Ces 66 chambres doubles y ont été transformées en chambres simples pour donner plus de confort aux personnes âgées hospitalisées. OK. Mais où met-on les autres ? », interroge Stéphane Naulleau, infirmier de bloc et secrétaire général FO.
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