Il s’est embrouillé. Il a confondu. Il a chuté sur sa droite. Depuis que Christian Estrosi s’est exprimé, ce mardi 19 mai au matin, sur la relaxe des deux policiers jugés pour “non-assistance à personnes en danger” après la mort de Zyed et Bouna à Clichy-sous-Bois, en 2005, chacun y est allé de son interprétation. Le député et maire UMP de Nice (Alpes-Maritimes), ancien ministre de Nicolas Sarkozy, qualifiant les deux jeunes de « délinquants » parce qu’ils étaient « en excès de vitesse » – alors qu’ils étaient à pied et qu'ils ne faisaient rien de mal –, cela doit forcément avoir une explication tangible.
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