Il régnait une ambiance un peu surréelle à l’ouverture de l’audience du procès en appel de Jérôme Kerviel face à la Société générale devant la cour d’appel de Versailles. Officiellement, trois jours d’audience avaient été fixés pour déterminer les responsabilités civiles de chaque partie et les dommages et intérêts que pouvait réclamer la banque à Jérôme Kerviel. La Cour de cassation ayant cassé dans un arrêt les 4,9 milliards d’euros de dommages fixés lors des premiers procès, après avoir estimé que la banque portait une responsabilité dans ses pertes, laquelle n’avait pas été prise en compte par la cour d'appel.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous