France

Le meurtre d'Agnès réactive la politique de l'émotion

Un fait divers, une loi. Telle est, depuis une dizaine d'années, la mécanique instaurée par le ministre de l'intérieur, puis président de la République, Nicolas Sarkozy. Une mécanique remise en marche après le meurtre de la collégienne à Chambon-sur-Lignon. Le syndicat de la magistrature dénonce «un grand numéro de démagogie».

Ellen Salvi

Un fait divers, une loi. Telle est, depuis une dizaine d'années, la mécanique instaurée par le ministre de l'intérieur, puis président de la République, Nicolas Sarkozy. Une mécanique tellement huilée qu'elle en est devenue la marque de fabrique de son gouvernement.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter