Si aucun aéroport ne vient bétonner le bocage, que deviendra la ZAD, cette zone de 1 650 hectares occupée et habitée depuis près de dix ans par le mouvement anti-aéroport ? Les paysans historiques pourront-ils retrouver leurs terres ? Les personnes venues occuper le terrain pour empêcher l’arrivée des pelleteuses et créer un laboratoire de vie sans État pourront-elles rester ?
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