Longtemps maquillé en suicide, l'assassinat du juge Borrel ne fait plus de doute. Ses commanditaires ne sont certes toujours pas connus. Mais le chef des services secrets et le procureur général de la République de Djibouti viennent d'être condamnés pour avoir voulu « neutraliser » un témoignage capital accusant les sommets de l'Etat djiboutien d'avoir cautionné l'assassinat. Ce qui complète, côté judiciaire, les ingérences diplomatiques apparues dans cette enquête hors norme.
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous