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A l'éducation nationale, la parité à la peine

Malgré le nouveau dispositif réglementaire visant à équilibrer les nominations, le ministère reste une caricature : alors que les femmes y sont très majoritaires, elles sont toujours aussi peu nombreuses aux postes de direction.

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Le cas du ministère de l’éducation nationale est emblématique, jusqu’à la caricature, du plafond de verre qui touche les femmes non seulement dans la haute administration publique mais dans l’ensemble de la chaîne hiérarchique. L’actuelle locataire de la rue de Grenelle connaît son sujet sur le bout des doigts. C’est en effet Najat Vallaud-Belkacem qui a fait adopter, du temps où elle était ministre chargée du droit des femmes, le nouveau dispositif réglementaire relatif aux nominations équilibrées dans la fonction publique pour progressivement féminiser les postes à responsabilité. Il fixe l’objectif d’un équilibrage des nominations avec 20 % de femmes, au minimum,  « primo-nommées » en 2013 et 2014, 30 % en 2015 et 40 % en 2017.

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