International Vidéo

Hanif Kureishi: «J’ai toujours été travailliste mais je ne voterai pas pour Brown cette fois»

Symbole de cette Cool Britannia qui porta Tony Blair au pouvoir en 1997, l'écrivain Hanif Kureishi explique pourquoi il ne peut pas, cette fois, voter pour les travaillistes. La guerre en Irak, bien sûr, constitua la première rupture. Mais il revient aussi sur le bilan du New Labour, en matière d'éducation notamment. Une honte, juge-t-il.

Vidéo réservée aux abonné·es

Enquêtes exclusives, reportages, documentaires, entretiens…

Je m’abonne pour 1€

Résiliable en 3 clics

Se connecter

Sylvain Bourmeau

Dans le monde intellectuel et artistique britannique, la guerre en Irak aura marqué le moment de la rupture d'avec le New Labour. Une prise de distance soudaine, et même souvent spectaculaire dans cet univers pourtant habituellement feutré, loin de la tradition française de l'engagement. Les tribunes ont fleuri dans les journaux, dénonçant violemment la décision de partir en guerre aux côtés des Américains, puis d'autres, plus récemment, s'étranglant à mesure que des éléments d'enquête nouveaux surgissaient au Parlement ou dans la presse.

Réservé aux abonné·es

Se connecter

La lecture des articles est réservée aux abonné·es

Se connecter