Le philosophe Maxime Chédin réalise une lecture critique du dernier livre de Cyril Dion et s'en sert pour poser la question suivante : les deux écologies, l'une des petits gestes, plus institutionnelle, peut-elle être réconciliée avec une écologie plus radicale ?
Vous êtes abonné(e) Identifiez-vous
Pas encore abonné(e) ? Rejoignez-nous
Choisissez votre formule et créez votre compte pour accéder à tout Mediapart.
Abonnez-vous