Manifs sauvages dans les quartiers chics de grandes villes, rassemblements bruyants devant les domiciles privés de certains ministres, reprises à grande échelle de thèses complotistes contre l’exécutif… Les signes se multiplient d’une mobilisation de l’extrême droite en Espagne pour dénoncer la gestion de l’épidémie par le gouvernement du socialiste Pedro Sánchez, qui gouverne en coalition avec Unidas Podemos (gauche critique).
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