Une trentaine d’États se sont réunis à Paris, jeudi 27 mars, pour évoquer la forme future du soutien à Kyiv. La France et le Royaume-Uni ont redit leur détermination à envoyer des troupes sur place une fois la paix signée, mais les contours de cette « force » restent flous.
C’est une première dans l’histoire pénale et politique française : jamais une telle peine n’avait été requise pour un ancien président de la République, décrit par les procureurs comme le « commanditaire » d’un pacte de corruption avec la dictature libyenne.
Au terme de quatre jours de procès, le procureur a demandé jeudi au tribunal correctionnel de Paris de condamner Gérard Depardieu à 18 mois de prison avec sursis probatoire.
Jusqu’aux réquisitions de cette semaine, et en dehors de quelques brèves incursions, les chaînes ont déserté les audiences. Les journalistes interrogés assurent qu’il ne faut rien y voir d’autre que les mécanismes classiques de la télé.
Dans son dernier rapport annuel, Jean-Louis Walter déplore que des alertes émises l’année dernière ne soient toujours pas réglées et en appelle au ministère du travail. Parmi les cas les plus épineux qu’il décrit, des trop-perçus réclamés aux chômeurs séniors et des difficultés liées au droit d’option.
Le tribunal de Dar El-Beïda, dans les environs de la capitale algérienne, a condamné l’écrivain notamment pour « atteinte à l’unité nationale ». Alors qu’il est à un âge avancé et souffre d’un cancer, son avocat français affirme n’avoir pas pu défendre son cas comme il se doit.
La nouvelle autorité de sûreté ne communique pas sur une fuite radioactive survenue samedi 22 mars sur un réacteur nucléaire. Elle n’a pas non plus activé son centre de crise. Certains experts en son sein interrogent cette attitude.
La majorité sénatoriale a adopté mercredi soir la proposition de loi de Gabriel Attal visant à durcir la justice des mineurs. Parmi les mesures entérinées sous la bronca des gauches : la possibilité d’infliger des peines de prison de quelques jours. Et la fin, dans certains cas, de « l’excuse de minorité ».
Le ministre de la justice veut faire croire que le problème de la surpopulation carcérale pourrait être réglé par une variable d’ajustement : les détenus étrangers. Un postulat nauséabond et simpliste.
En plus de Boualem Sansal, des centaines de personnes sont emprisonnées pour s’être exprimées librement, avoir vanté le Hirak, le mouvement de contestation sociale né en 2019, ou défendu les droits humains. Mediapart en dresse une liste non exhaustive.