L’association parisienne dénonce le « retrait arbitraire » de sa demande de subvention. À Mediapart, la région justifie son choix par la vente d’un livre propalestinien dans la librairie qui lui est liée. Ce qui a déjà donné lieu à des attaques politiques, des dégradations physiques et du cyberharcèlement.
En campagne pour les municipales, la ministre s’est rendue dans deux campements parisiens de personnes sans abri pour dénoncer « une zone de non-droit » et diffuser les images sur ses réseaux sociaux. Des personnes filmées à leur insu souhaitent entamer des démarches judiciaires.
Ces derniers mois, les maisons d’édition misent sur des ouvrages qui attaquent le mouvement de Jean-Luc Mélenchon pour faire recette. Qu’importe si certaines de ces publications sont sujettes à caution, « le LFI-bashing est devenu un créneau rentable, comme les livres d’extrême droite », reconnaît-on dans le secteur.
Marine Tondelier a de nouveau participé cette année au « dîner des bâtisseurs », qui a réuni 600 personnalités catholiques, dont Bruno Retailleau. La présence de la cheffe de file des Écologistes dans un raout qui a accueilli par le passé les milliardaires Pierre-Édouard Stérin ou Vincent Bolloré fait grincer des dents au sein de son parti.
Parce que la production d’électricité est en surcapacité durable, RTE, le gestionnaire du réseau d’électricité, propose de ralentir le rythme d’installation du solaire et de l’éolien terrestre. La France est pourtant en retard sur ses objectifs.
Alors qu’Olivier Faure a ouvertement appelé ses troupes à voter en faveur du projet de loi de financement de la Sécurité sociale mardi, le suspense reste total quant à l’issue du scrutin. Retour sur des semaines de rebondissements durant lesquelles s’est scellé l’accord entre le PS et les macronistes.
Gérard Trémège a été reconnu coupable de favoritisme et de prise illégale d’intérêts dans l’attribution de plusieurs marchés publics de la ville de Tarbes. À 81 ans, le patron de la droite locale est contraint de rendre son écharpe.
Tout en menaçant d’intervenir militairement au Venezuela, Washington s’ingère dans les processus électoraux du continent, comme dernièrement au Honduras. La « guerre contre la drogue » apparaît comme un mauvais prétexte.
Depuis septembre, 87 individus considérés comme des trafiquants de drogue ont été tués en mer des Caraïbes et dans le Pacifique par des frappes états-uniennes. L’opération suscite une vive controverse. Pour de nombreux analystes, elle enfreint un droit fondamental : le droit à la vie.
Le patron de l’agence de communication e-Politic, Paul-Alexandre Martin, s’est lié d’amitié avec des militants néofascistes souvent multicondamnés. Le trentenaire était pourtant censé incarner un visage plus respectable que ses mentors, Axel Loustau et Frédéric Chatillon, tenus à distance par le RN.