À la suite de l'article « Les chips Brets, un empire qui crispe en Bretagne », publié le 18 mars 2025, la société Altho a adressé à Mediapart un droit de réponse.
Surnommé le « vice-président », Alexis Kohler a exercé pendant huit ans un pouvoir politique et économique sans précédent aux côtés d’Emmanuel Macron. Sa démission marque un tournant pour le camp présidentiel. Mais que va-t-il faire à la Société générale ?
Benjamin Amar, écarté de la direction du syndicat après une plainte pour viol, depuis classée sans suite, reprochait à une association féministe et à un autre cégétiste d’avoir dévoilé des pans entiers du dossier pénal et de sa vie intime. Le tribunal vient de les condamner conjointement.
Les assauts de l’administration états-unienne contre la science climatique défont déjà à bas bruit des pans entiers de programmes de suivi de la planète. Les climatologues redoutent des pertes de données essentielles pour faire face au chaos climatique qui s’intensifie.
Les deux plus grands groupes d’édition français se sont lancés dans des projets immobiliers à grande échelle. Bien trop vite et sans prendre en compte les critiques, dénonce le personnel dans les deux cas. Ces projets éclairent le changement de logique à l’œuvre dans le secteur.
Le Conseil constitutionnel a rejeté les arguments d’élus locaux qui contestaient leur démission d’office après leur condamnation à une peine d’inéligibilité. Même si son cas est différent, Marine Le Pen comptait sur cette décision avant son jugement, attendu lundi 31 mars.
Une trentaine d’États se sont réunis à Paris, jeudi 27 mars, pour évoquer la forme future du soutien à Kyiv. La France et le Royaume-Uni ont redit leur détermination à envoyer des troupes sur place une fois la paix signée, mais les contours de cette « force » restent flous.
C’est une première dans l’histoire pénale et politique française : jamais une telle peine n’avait été requise pour un ancien président de la République, décrit par les procureurs comme le « commanditaire » d’un pacte de corruption avec la dictature libyenne.
Au terme de quatre jours de procès, le procureur a demandé jeudi au tribunal correctionnel de Paris de condamner Gérard Depardieu à 18 mois de prison avec sursis probatoire.
Jusqu’aux réquisitions de cette semaine, et en dehors de quelques brèves incursions, les chaînes ont déserté les audiences. Les journalistes interrogés assurent qu’il ne faut rien y voir d’autre que les mécanismes classiques de la télé.