Une série d’enquêtes de Mediapart, basée sur des documents confidentiels, révèle comment les multinationales obtiennent des « permis de détruire » la biodiversité dans les pays du Sud, grâce à la complaisance de bureaux d’études et des institutions financières internationales.
À l’occasion du procès qui débute lundi, Mediapart reconstitue les deux années d’horreur vécues par vingt-cinq otages occidentaux enlevés, détenus, torturés et, pour certains, décapités par des djihadistes de l’État islamique. Récit.
Mehdi Nemmouche et quatre complices vont devoir répondre d’enlèvement, de séquestration, d’actes de torture et de barbarie envers quatre journalistes français. Les accusés encourent la perpétuité mais nient toute responsabilité dans les faits reprochés.
Soutenu par la mairie, le projet d’extension de l’institut religieux bute depuis six ans sur l’opposition farouche de la préfecture. L’affaire est suivie de près par le préfet, un proche de Gérald Darmanin, et par les médias du groupe Bolloré.
Le président de la communauté de communes de l’île vendéenne comparaîtra en avril prochain devant la justice pour avoir ouvert avec sa famille un lieu de réception pouvant accueillir jusqu’à 300 personnes dans une zone à fort risque d’inondation.
Le parquet de Paris a requis le renvoi devant la cour d’assises de l’escroc Arnaud Mimran, un des principaux acteurs de la fraude historique aux quotas carbone, pour deux meurtres et un assassinat. Mediapart a pris connaissance de l’intégralité du rapport de synthèse.
Depuis le 27 janvier, le pôle de journalistes chargés de la mise en page et de la relecture de toutes les éditions du quotidien sur le littoral a été éclaté entre différentes agences à la suite de très nombreux arrêts de travail. Cette solution, ultime soubresaut d’un plan social mal digéré, fait craindre le pire pour le grand quotidien nordiste.
En 1996, la condamnation d’un surveillant général met en lumière l’incroyable climat de violences au sein de l’établissement. Une professeure tente de briser l’omerta. Mais le ministre de l’éducation de l’époque, François Bayrou, maintient sa confiance à l’institution religieuse.
Son discours semble vertueux : planter des arbres au nom de la préservation de la biodiversité. Mais la réalité est plus épineuse. L’entreprise a une gestion principalement économique de la forêt, soutenue financièrement et politiquement par la région Bretagne.
Déjà sous le coup d’une procédure judiciaire en Algérie, l’écrivain est, selon les informations de Mediapart, désormais assigné en France pour atteinte à la vie privée. Saâda Arbane l’accuse d’avoir utilisé le récit de sa vie sans son consentement pour son roman « Houris », lauréat du prestigieux prix littéraire.