Après le génocide, Kigali a dépensé plus de 50.000 dollars par mois pour redorer l'image de marque du pays, détérioriée par les critiques des humanitaires.
Un hacker saoudien affirme avoir réussi à pirater, à une date indéterminée, les sites internet du régime syrien, dont le site du ministère de l'Information, de l'Intérieur, de l'Economie, le site du Parlement et la boîte aux lettres électronique du président Bachar el-Assad.
L'accord commercial multilatéral ACTA, signé par les pays européens la semaine passée, fait l'objet d'une pétition demandant aux parlementaires européens, qui doivent être consultés avant sa mise en œuvre en Europe, l'arrêt du processus politique visant à l'intégrer dans le corpus législatif : «Nous, citoyens du monde, vous appelons à défendre un Internet libre et ouvert et à refuser de ratifier l'Accord Commercial Anti-Contrefaçon (ACTA) qui l'anéantirait. Internet est un outil essentiel aux peuples du monde entier pour échanger des idées et promouvoir la démocratie. Nous vous exhortons à faire preuve d'un véritable leadership mondial et à protéger nos droits.» Elle a déjà été signée par près de 1,5 million de personnes dans le monde.A lire sur le site de pétition Avaaz
Le PDG de Twitter, Dick Costolo, à la conférence D: Dive Into Media sur «l’amplification immédiate de la conversation» : «On a vraiment vu cela durant le dernier discours sur l’Etat de l’Union, quand Obama a fait un mauvais jeu de mots sur le lait, il y eut un grognement collectif qui s’est propagé dans tout le pays sur Twitter. Jusqu’ici nous devions attendre les experts nous expliquer ce que nous devions retenir. Maintenant vous n’en avez plus besoin. Washington a plus que commencé à intégrer cela, et s’habitue à recevoir ce retour d’informations en temps réel. Durant le discours, au lieu d’attendre les réfutations de l’opposition à la fin, vous aviez deux parlementaires républicains qui twittaient en direct leurs réponses au discours. En 2012, les candidats qui ne participeront pas en direct sur Twitter au moment des conversations et des débats au moment où ils se déroulent, seront à la traîne, car le lendemain il sera trop tard pour réagir à quelque chose dit la veille.»A lire sur MetaMedia
Animateur de la « Lettre aux spectateurs citoyens » publiée par Libération pendant le débat sur la loi Hadopi, en 2009, Juan Branco avait poursuivi dans Réponse à Hadopi la démonstration que tous les artistes ne sont pas favorables à la pénalisation des internautes et qu'il existait d'autres façons d'envisager la création qui favorisaient les intérêts des spectateurs comme des créateurs. Poussant son raisonnement au bout – notamment sur la chronologie des médias –, il vient de libérer son ouvrage sous licence CC-NC (réutilisation non commerciale) après une période d'exclusivité pour son éditeur Capricci.A lire dans PC Inpact