La folie belliqueuse qui ravage une partie du Proche-Orient suscite de nombreux débats et des polémiques virulentes, avec un débat public fait d’invectives et de « fake news ». Dans cette série, des intellectuel·les arabes nous offrent leur compréhension de ces événements dont les conséquences nous…
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Les guerres israéliennes contre la bande de Gaza, la Cisjordanie et le Liban détruisent les vies et les territoires. Elles abîment aussi la crédibilité de l’Occident, enfermé pour l’essentiel dans un soutien univoque à Israël. Vue depuis le monde arabe, voici l’histoire d’une chute morale.
Les guerres d’Israël contre la bande de Gaza, la Cisjordanie et le Liban bouleversent les opinions et suscitent de violents débats en Occident. Mais comment les intellectuels arabes pensent-ils cette tragédie brutale dans laquelle est plongée leur région ? Mediapart leur a posé la question lors d’un colloque.
L’historien Rashid Khalidi quitte sa chaire à l’université Columbia, aux États-Unis, consacrée au monde arabe. À cette occasion, il revient pour Mediapart sur son parcours, l’état des universités américaines, l’élection de Donald Trump et la situation au Proche-Orient.
L’ex-premier ministre s’est rendu au Bahreïn en juillet dans le cadre d’une vaste opération diplomatique et judiciaire en faveur du royaume. Il a été rémunéré 30 000 euros pour ce déplacement de trois jours, d’après des documents consultés par Mediapart.
En Cisjordanie, nul n’est à l’abri, ni de la violence des colons ni de celle de l’armée israélienne. Mediapart a recueilli l’histoire d’un directeur d’école attaqué et battu par les colons, puis arrêté et torturé par l’armée israélienne dans la foulée.
Pour avoir relayé des témoignages de violences sexistes et sexuelles qui auraient été commises par des imams connus sur les réseaux sociaux, Amin et Loubna ont été la cible d’une cabale numérique. Nous vous racontons leur histoire.
La Bulgarie vient de valider un ordre d’expulsion vers l’Arabie saoudite du défenseur des droits humains, opposant politique et journaliste, Abdulrahman al-Khalidi. « Je suis profondément blessé et humilié par la façon dont je suis traité par les autorités bulgares », réagit-il depuis sa prison.
Depuis un an et les attaques du Hamas en Israël, l’État hébreu s’est engagé dans un processus de destruction massive à Gaza. Malgré des discours de façade, les pays arabes laissent faire, refusant d’accueillir les Palestiniens, avec la complicité des pays occidentaux.
Le 22 septembre, le bureau de la chaîne qatarie à Ramallah, le dernier de la région, a été fermé par les autorités israéliennes. Son chef, Walid al-Omari, dénonce une décision « sans fondement », destinée « à empêcher quiconque de couvrir cette guerre et les crimes qu’Israël commet ».