Le Projet de Loi de Finances ne prévoit que 7 millions d’euros pour le Pacte Haies. Cette somme n’est pas suffisante pour assurer la continuité du Pacte, qui pour rappel était annoncé en 2023 comme devant permettre d'atteindre +50 000km de haies en 2030 via la mobilisation de 110M€ par an.
Seule une mobilisation d'ampleur permettra de maintenir un budget suffisant pour le Pacte !
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Un pacte de corruption entre Sarkozy et Kadhafi ? Pas moins mais en France, la complaisance de l’opinion publique pour ses dirigeants est une vieille tradition. Éduqués dans le culte d’une république sacralisée, les Français sont majoritairement peu enclins à remettre en cause, à travers leurs responsables politiques, un régime considéré comme toujours légitime.
Dans la tradition, un Dibbouk prend possession d’une âme innocente lorsque une promesse, une parole donnée, n’ont pas été tenues. Cette âme, hantée par le fantôme Dibbouk, fait alors entendre son opposition à des volontés nouvelles, oublieuses de l’engagement pris, des volontés qui cherchent à obtenir, en brisant le pacte premier, des alliances impossibles.
Après la fable du "socle commun", vaine trouvaille macroniste pour illusionner les observateurs politiques et amadouer les électeurs les plus frileux, le nouveau gouvernement, sérieusement menacé de censure, vient de lui substituer le "pacte de stabilité", pour l'instant réduit à portion congrue
Après plusieurs mois d’attente, le premier gouvernement de la toute nouvelle cinquième république du Togo est enfin nommé. Sans surprise, sont reconduits de nombreux « anciens ministres ». Avec réalisme et sans concession, Mohamed Madi Djabakate, politologue et essayiste togolais, analyse la gouvernance du Togo. Il compare à un acte de contrebande le changement de constitution opéré en catimini.
Sous prétexte de « revitaliser les centres-villes », la SGM s’allie à Shein, empire du jetable. Ce pacte illustre un système qui oppose travailleurs et consommateurs tout en les soumettant aux mêmes chaînes. Derrière la promesse d’innovation, s’étend le vide marchand : une modernité factice où le commerce français creuse, sous lumière LED, la tombe de son propre sens.
Lorsque Israël a bombardé Doha, les États-Unis sont restés passifs. L’Arabie saoudite a pris note et s’est tournée vers le Pakistan. Leur pacte de défense, incluant la dissuasion nucléaire, est un message clair : le bouclier américain ne garantit plus la survie dans le Golfe. Un ordre post-américain émerge, et Riyad a choisi son camp.
La démission de Vital Kamerhe, présentée comme volontaire mais vécue comme une humiliation, marque plus qu’un simple changement de fauteuil à l’Assemblée nationale. Elle révèle les fissures d’un pacte politique jadis scellé dans la confiance, et ouvre la voie à une recomposition stratégique explosives dont les contours restent à définir...
Les fleuves de commentaires de café du commerce sur la valse des premiers ministres cachent ces données fondamentales : Les traités européens et leur renforcement par une multitude de directives dont le nouveau « pacte de stabilité et de croissance réformé »