L’université s’enferme dans des amphithéâtres silencieux pendant que le monde brûle autour d’elle. Transmettre des savoirs ne suffit plus : il faut créer des lieux vivants, critiques et engagés, capables de former des citoyen·ne·s lucides et audacieux.
A Myriam Encaoua, Apolline de Malherbe, Eugénie Bastié, Loreleï Mirot et Soraya Allal...
La recherche a évolué
Aidez-nous à l’améliorer en répondant à quelques questions
Parmi les milliers de voix exhortant les diplomates du climat à « faire preuve de courage », celles des jeunes ont résonné avec une force singulière, portées par une conviction précise : la crise climatique est simultanément une crise économique, sociale, éthique et éducative.
Depuis son accession à la souveraineté nationale, la RDC, est victime de convoitises à cause de ses énormes ressources naturelles. Des initiatives étrangères visant à stabiliser le pays ont toujours échoué. Le clergé catholique et protestant congolais a lancé le « Pacte social pour la paix en RDC et dans les Grands Lacs », présentée à la diaspora congolaise de Paris, le 22 novembre 2025.
Il est dans l’intérêt de l’Etat, garant de la cohésion sociale, de soutenir concrètement ces associations de proximité et, en premier lieu, de stopper l’hémorragie qui les frappe depuis de nombreuses années en préservant les dotations financières qui leur sont allouées dans le budget 2026.
Madieye Mbodj, Vice-président de Pastef-Les Patriotes, souligne le succès populaire du meeting organisé le 8 novembre 2025. Il interroge sur les défis posés par l’exercice du pouvoir, l’impératif pour le parti Pastef de ne pas baisser la garde dans la lutte contre le projet contre-révolutionnaire tous azimuts de l’opposition, en contribuant activement à la réalisation des objectifs promis.
Le plafond de la haine des extrêmes droites est atteint .
L’élection de Mandani marque un tournant mondial. Face à l’usure des extrêmes droites, les peuples réclament un nouveau pacte social. Signe d’un basculement historique, entre solidarité retrouvée et colère sourde.
Le Projet de Loi de Finances ne prévoit que 7 millions d’euros pour le Pacte Haies. Cette somme n’est pas suffisante pour assurer la continuité du Pacte, qui pour rappel était annoncé en 2023 comme devant permettre d'atteindre +50 000km de haies en 2030 via la mobilisation de 110M€ par an.
Seule une mobilisation d'ampleur permettra de maintenir un budget suffisant pour le Pacte !
Un pacte de corruption entre Sarkozy et Kadhafi ? Pas moins mais en France, la complaisance de l’opinion publique pour ses dirigeants est une vieille tradition. Éduqués dans le culte d’une république sacralisée, les Français sont majoritairement peu enclins à remettre en cause, à travers leurs responsables politiques, un régime considéré comme toujours légitime.
Dans la tradition, un Dibbouk prend possession d’une âme innocente lorsque une promesse, une parole donnée, n’ont pas été tenues. Cette âme, hantée par le fantôme Dibbouk, fait alors entendre son opposition à des volontés nouvelles, oublieuses de l’engagement pris, des volontés qui cherchent à obtenir, en brisant le pacte premier, des alliances impossibles.
Après la fable du "socle commun", vaine trouvaille macroniste pour illusionner les observateurs politiques et amadouer les électeurs les plus frileux, le nouveau gouvernement, sérieusement menacé de censure, vient de lui substituer le "pacte de stabilité", pour l'instant réduit à portion congrue