Sur une plage nudiste d'Athènes, Demosthenes et son grand ami Nikitas tentent de réunir leurs histoires d'amour afin de nourrir un scénario personnel pour un film un petit budget.
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Une dérouleuse agricole de film plastique lui a sectionné un bras. Le fils du patron l’a ramené et déposé devant chez lui (façon de parler, une baraque en tôle de cinq mètres carrés). Il s’est vidé de son sang et en est mort.
Il s’appelait Singh. Il était Indien. Pourtant cet épisode n’a pas été média(par)tisé en France.
Chouette me voila revenu dans les clous de la lutte contre la propriété ! Oh pas toute la propriété mais au moins la propriété immobilière ! La propriété des rentiers, des p'tis bobos qu'ont acheté des studettes, des studios ou même des maisons...Oh pas pour se loger, non, mais pour faire du fric, beaucoup trop de fric !
« Associations, collectifs de personnes exilées, collectivités accueillantes et syndicats, nous demeurons scandalisé·es par l'adoption du projet de loi asile et immigration ». Appelant à rejoindre les mobilisations des 14 et 21 janvier contre ce texte « qui concrétise une victoire de l'extrême droite et de ses idées », un large front d'organisations affirme sa détermination, aux côtés du corps médical, universitaires, collectivités, et autres pans entiers de notre société qui ont pris position ces dernières semaines.
Une étude portant sur l’ensemble des hommes incarcérés pour terrorisme islamiste (TIS) en France permet de dresser une typologie du djihadisme en France. Cette étude à paraître en février a été menée par le politologue Xavier Crettiez, professeur à Sciences Po Saint-Germain-en-Laye et coauteur avec Nathalie Duclos de Violences politiques.
A l’écoute des gens en difficulté, ayant besoin d’aides, 2 exemples ce matin mais, parce que j'ai prévenu le média auquel je suis d'ailleurs abonné, j'ai dû supprimer l'exemple le plus récent ! Pas de publicité, AUCUNE ! Pour ce média !
Picard, résidant souvent au Touquet, il a tenu à répondre, sans filtre, à la demande du Pas-de-Calais, des Ch’tis : Les taxis gratuits pour sauver des femmes ! QUELLE AVANCÉE ! UNE PREMIÈRE EN FRANCE !
Dès lors qu’une personne détenue est étiquetée « TIS » ou suspectée de se radicaliser, le niveau de surveillance dont elle fait l’objet est poussé à son cran maximum. Constamment évaluée, elle bascule dans un monde de suspicion permanente. Un traitement aux effets délétères sur les personnes détenues et une situation inconfortable pour les professionnels, sommés de se muer en auxiliaires du renseignement pénitentiaire.
