«Les Chants de la Maladrerie», harmonie en béton
Chanter, c’est offrir son intimité en partage. Pour la réalisatrice Flavie Pinatel, c’est une manière de raconter le vivre-ensemble. Et cela donne cet étonnant court-métrage en forme de comédie musicale, tourné à Aubervilliers dans une cité alternative aux grands ensembles. En partenariat avec Tënk, la plateforme du documentaire d’auteur.
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C’est une cité unique, étonnante, exubérante. Construite entre 1975 à 1985 à Aubervillers (93), la Maladrerie érige sur huit hectares ses 900 logements et 40 ateliers d’artistes aux formes toutes différentes et tous dotés d’un espace extérieur. Une utopie architecturale signée Renée Gailhoustet qui, en 2008, a reçu le label Patrimoine du XXe siècle.
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